Kalémodou aux anciens de l’UFDG: . Laissez l’UFDG tranquille, allez là où vous voulez aller

Kalémodou aux anciens de l’UFDG: . Laissez l’UFDG tranquille, allez là où vous voulez aller

Prenant la parole en marge à l’assemblée générale hebdomadaire de son parti tenue ce samedi, 11 janvier 2025, à la Minière dans la commune de Dixinn, Kalémodou Yansané a invité les transfuges de l’UFDG à cesser d’attaquer le parti, qu’ils ne soient pas de vecteur pour créer des problèmes dans le pays.

“On n’a obligé personne à être là. On n’a obligé personne à adhérer au parti. Personne n’a payé pour être là. Si vous venez on vous accueille, on travaille ensemble. Le jour que vous souhaitez partir, pour X raison, vous êtes libre de partir. Les cadres, les militants, autrefois étaient à la tribune ici, qui animaient les réunions de l’UFDG, qui haranguaient la foule, qui ont été qualifiés de tout, qui étaient à la tribune ici, qui étaient dans le secret du prince, qui étaient à tu et à toi avec le président Cellou, qui ont bénéficié de toutes ces largesses, qui ont estimé qu’ils ont le bonheur ailleurs. Ils sont partis. Moi qui vous parle, j’ai souhaité bon vent à chacun d’eux. Elhadj Cellou lui-même a souhaité bon vent à chacun d’eux. Mais que grâce, qu’ils laissent l’UFDG tranquille, qu’ils ne servent pas de mobile pour créer des problèmes aux anciens collaborateurs, aux anciens amis, aux anciens parents, qu’ils ne servent pas de vecteur pour créer des problèmes dans le pays. Laissez l’UFDG tranquille. Allez là où vous voulez aller. Nous vous souhaitons bon vent. On ne souhaite du mal à personne. Mais, sachez une chose, on n’oublie jamais en politique, jamais. Peut-être que parmi eux, certains vont se retrouver encore ici. C’est ça la vie”, a t-il déclaré.

 

Et d’ajouter: “Je demande humblement aux militants, aux cadres qui ont quitté l’UFDG parce qu’ils estiment qu’ils ont le bonheur ailleurs, je leur demande de laisser l’UFDG tranquille. Nous les laissons tranquille. L’adversité n’est pas bien. Personne ne sait comment ça finit”, a-t-il martelé.

 

 

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