Djelykaba Bintou brise le silence et confirme son divorce avec Azaya : ‘’Pervers, narcissique, trop c’est trop !’’

Jusque-là, les fans des deux célébrités de la musique guinéenne étaient plongés dans le flou et le suspens. Après la diffusion par Azaya de sa nouvelle chanson intitulée « Cercle de feu » devenue virale sur sa chaîne Youtube et les réseaux sociaux ce mardi 1er avril, Djelykaba Bintou a contre-attaqué ce mercredi 2 avril 2025, à travers des images insoutenables de violences conjugales.
Si son désormais ex-époux (Azaya) met en avant dans son clip vidéo la trahison de sa femme, sans pour autant citer cette dernière, celle-ci (Djelykaba Bintou Kouyaté), contre toute attente, fait comprendre aux internautes, qu’elle est partie de son foyer en raison des multiples violences conjugales qu’elle aurait subies.
Sur sa page Facebook, l’auteure du tube « La Patronne » emploie des termes grossiers vis-à-vis de son ex-mari. « Pervers, narcissique, trop c’est trop ! », a-t-elle introduit. Lisez plutôt !
« Je ressens que la situation est devenue insupportable. Aujourd’hui, il est temps pour moi de tirer un trait sur tout cela. Renaissance pour moi était d’un nouveau départ dans la positivité. Mais j’ai l’impression que je ne savais pas que frapper à sang une femme et de manière répétée, est considéré comme normale dans la société, alors, pourquoi ne pas faire croire au monde qu’on est le plus fort en se victimisation.
‘Pour ma part, je fais le choix de partir calmement et d’évoluer au rythme de la célébrité que je veux être. Je ne veux plus être impliquée dans cette souffrance et ce jugement complice’.
J’ai des frères, sœurs, une maman et des admirateurs qui comptent sur moi. Je ne peux pas rester piégée dans cette dynamique toxique. ‘Je vous remercie de me laisser maintenant, je suis parti, j’ai mûri et surtout, j’ai compris que je dois apprendre à marcher seule’.
Je sais et j’assume que, je suis une femme forte et je ne me laisserai plus faire. Juste une mise en garde, vous aurez encore suffisamment de preuves au moment venu, inch’Allah’’, lit-on sur sa page Facebook.